mardi 8 septembre 2009

Charpente des ponts

Le travail "mercenaire" a repris toute la place disponible des journées. A ce propos il y aurait long à dire et à écrire sur cette notion de travail. Et sans doute il y aurait de quoi réveiller cette vieille taupe et toutes ses questions sur la valeur ajoutée et l'aliénation... Mais c'est une autre histoire pour d'autres jardins et d'autres routes. Donc moins de temps pour ce rêve éveillé. Mais du temps quand même. Samedi après midi et dimanche. C'est le temps qui reste aux hommes libres ou au moins qui essayent de faire en sorte de l'être.


Vue d'en haut. Dommage que le fil électrique dénature la vision et que les arbres masquent une part de la "carcasse". Je ferai grâce aux arbres (ils portent mon secret espoir en forme de prédiction façon Julien Gracq : l'arbre tuera la ville) mais pas au fil électrique; quoique ! L'énergie contrôlée peut donner accès à la création mais aussi à la destruction. Mais la destruction n'appartient pas à l'élémentaire.

Certains liment les barreaux de leurs cages. D'autres construisent des bateaux. Il y a la même volonté à l'oeuvre. Celle d'échapper aux contingences.


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